Capture géante au Pont du Diable

Capture géante au Pont du Diable

Une capture géante au Pont du Diable attire l’attention des passants

Un matin pas comme les autres au Pont du Diable, dans le département de l’Hérault, a vu un jeune pêcheur de 20 ans, habitant de Saint-Bauzille-de-la-Sylve, vivre une expérience hors du commun. Tandis que le soleil commence doucement à baisser à l’horizon, notre protagoniste, armé de patience et de sa canne à pêche, se préparait à conclure sa journée. C’était sans compter sur une rencontre aquatique spectaculaire.

Au moment le moins attendu, son moulinet se met à s’enrouler à une vitesse folle. Un combat s’ensuit entre lui et une créature des profondeurs se débattant avec vigueur. Cette prise n’était autre qu’un brochet mesurant plus d’1,07 mètre pour plus de 15 kg, une taille bien trop imposante pour l’épuisette habituellement utilisée par notre pêcheur.

Face à cette scène peu commune, certains passants, intrigués par l’affrontement, sont venus prêter main-forte pour extraire ce monstre des eaux douces. Tom Delabrousse, le pêcheur, confie n’avoir jamais vu pareille capture au cours de sa carrière débutée dès l’âge de 4 ans.

Plus qu’une simple journée de pêche, cet événement s’est transformé en un véritable spectacle, offrant à Tom un record personnel avec cette prise exceptionnelle. Ce moment de gloire fut également un moyen pour lui de rendre hommage à Bernard Conesa, un mentor qui lui a transmis la passion de la pêche. Une passion qui, contre toute attente, lui a offert son moment de gloire sous le Pont du Diable.

En plus de ce trophée aquatique, Tom avait également réussi à capturer un beau sandre plus tôt dans la journée, témoignant de l’abondance piscicole de cette zone. Notre jeune passionné souligne l’importance de la période post-crues, propice à de telles découvertes.

Conseils pour les aspirants pêcheurs de records

Pour ceux qui rêvent de réaliser une prise similaire, quelques conseils s’imposent. La patience, une bonne connaissance des points d’eau et un équipement adapté sont cruciaux. Et rappelez-vous, parfois, la nature réserve des surprises là où on s’y attend le moins. Que vous soyez un habitué des eaux locales ou un visiteur espérant capturer le monstre du Pont du Diable, chaque sortie de pêche est une aventure en soi.

Actuchasse pour Caninstore

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Confinement insolite avec un sanglier dans un collège

Confinement insolite avec un sanglier dans un collège

Confinement Insolite : Quand un Sanglier Visite un Collège

Un vendredi après-midi pas comme les autres à Saint-Sulpice-la-Pointe: 800 élèves du collège Pierre Suc se sont retrouvés confinés, non pas à cause d’une alerte météo ou d’un exercice de sécurité, mais en raison de la présence inattendue d’un sanglier de 40 kg dans un jardin voisin. L’animal, initialement destiné à être abattu, a suscité un branle-bas de combat impliquant la brigade animalière des sapeurs-pompiers d’Albi.

C’est une histoire qui sort de l’ordinaire : le sanglier avait déjà été repéré le matin même déambulant tranquillement dans le centre-ville de Saint-Sulpice et signalé à la gendarmerie de Gaillac. Les autorités locales ont rapidement décidé de confiner les élèves dans l’établissement pour éviter tout incident ou de potentielles interactions avec l’animal sauvage. L’intervention du lieutenant de louveterie n’a finalement pas été nécessaire puisque les sapeurs-pompiers ont réussi à capturer le sanglier à l’aide d’un filet, avant de le relâcher sain et sauf dans son milieu naturel.

Cet incident insolite soulève plusieurs questions : Comment un sanglier a-t-il pu se retrouver en plein centre-ville ? Quels sont les protocoles à suivre lorsqu’un animal sauvage divague à proximité d’écoles ou de zones urbaines ? Ce scénario peu commun rappelle l’importance de la cohabitation entre la faune sauvage et les zones urbaines résidentielles, ainsi que la nécessité pour les autorités locales de disposer de plans d’action pour gérer ce type de situations.

Il est essentiel pour les résidents d’être conscients de la possibilité de tels événements et de savoir comment réagir de manière appropriée pour leur sécurité et celle de l’animal. La sécurité et le bien-être des élèves et de la faune sauvage passent par une bonne préparation et un respect mutuel de l’espace de chacun.

Une chose est sûre, cet événement restera gravé dans la mémoire des élèves et du personnel du collège Pierre Suc comme une expérience hors du commun, illustrant l’imprévisibilité de la faune locale et l’importance de la gestion de la faune en milieu urbain.

Actuchasse pour Caninstore

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La Régulation Discrète des Ragondins grâce à la Chasse à l’Arc

La Régulation Discrète des Ragondins grâce à la Chasse à l'Arc

La Régulation Discrète des Ragondins en Isère grâce à la Chasse à l’Arc

Dans la charmante commune de Tullins, en Isère, Patrick Laborde fait figure de pionnier dans l’art de réguler avec adresse et discrétion la population de ragondins. Ces rongeurs, reconnus pour leur capacité à provoquer des dommages considérables dans les jardins, sur les terres agricoles et le long des berges des rivières, sont au cœur d’un programme de gestion piloté par ce chasseur émérite. Conscient de l’impact environnemental de ces espèces invasives, Laborde a développé une méthode de chasse qui se distingue tant par son efficacité que par sa discrétion: la chasse à l’arc.

Contrairement aux idées reçues, la chasse à l’arc offre de nombreux avantages, notamment en termes de sécurité et de discrétion. Cette technique permet de réduire considérablement le risque d’accidents, une préoccupation majeure lorsque l’activité se déroule à proximité des zones habitées. De plus, le silence qui caractérise cette pratique limite les nuisances sonores, offrant ainsi une approche plus respectueuse tant de la faune que des riverains.

L’initiative de Patrick Laborde trouve son origine dans une double compétence : un savoir-faire acquis dans le domaine du piégeage et une passion pour la chasse à l’arc. Cette combinaison lui permet d’intervenir avec précision pour réguler la population de ragondins, en répondant aux demandes spécifiques des habitants et des agriculteurs locaux. Son action s’inscrit dans une démarche écologique visant à préserver l’équilibre des écosystèmes tout en protégeant les activités humaines des potentiels ravages causés par ces animaux.

La méthode employée par Laborde suscite l’intérêt au sein de la communauté et pourrait inspirer d’autres régions confrontées à des problèmes similaires avec des espèces invasives. Elle met en lumière l’importance d’une gestion adaptée de la faune sauvage, où la sécurité, le respect de l’environnement et l’efficacité doivent aller de pair.

Pour ceux qui souhaitent en apprendre davantage sur la chasse responsable ou sur les techniques de chasse à l’arc, des ressources sont accessibles pour débuter ou perfectionner ses connaissances dans ce domaine fascinant. La chasse, lorsqu’elle est pratiquée de manière éthique et réfléchie, peut constituer un outil précieux pour la gestion de la faune et la préservation de la biodiversité.

Signé : Actuchasse pour Caninstore

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Les chasseurs et les sangliers en ville

Les chasseurs et les sangliers en ville

Les chasseurs et la nouvelle vie urbaine des sangliers

Un élu de Montpellier pointe du doigt les chasseurs, les accusant d’être à l’origine de l’incursion croissante des sangliers dans les zones urbaines. D’après lui, ces animaux sauvages, traditionnellement habitués aux forêts et champs, se retrouvent désormais à arpenter les rues et même à gravir les escaliers des immeubles de la ville, en quête de nourriture et d’abri. Cette situation inédite soulève des questions sur les interactions entre l’homme et la faune sauvage dans les espaces habités.

Une cohabitation forcée ?

Cette affirmation surprenante émane d’Eddine Ariztegui, un élu animaliste de Montpellier, qui met directement en cause les pratiques de certains chasseurs dans cette urbanisation forcée du sanglier. Selon lui, l’agrainage illégal aux abords de la ville serait une des causes majeures de cette présence accrue. Des souilles en béton et des bidons d’abreuvage seraient installés par les chasseurs pour attirer et sédentariser les sangliers en périphérie urbaine, facilitant ainsi la chasse mais poussant ces derniers à s’aventurer de plus en plus dans la ville.

Les réactions fusent

La réaction des chasseurs locaux ne s’est pas faite attendre. Max Alliès, le président des chasseurs de l’Hérault, répond avec ironie aux accusations en précisant que si les sangliers montent effectivement les étages des immeubles, ce n’est certainement pas eux qui ont placé de la nourriture dans les appartements. Cette boutade met en lumière le fossé entre les perceptions des impacts de la chasse sur la faune et les accusations souvent simplificatrices qui ne prennent pas en compte la complexité des interactions entre espèces dans un environnement partagé.

Entre incompréhension et nécessité de dialogue

Cet incident soulève des questions profondes sur la gestion de la faune aux abords des zones habitées et sur les mesures à prendre pour assurer une cohabitation harmonieuse entre les humains et les animaux sauvages. Il apparaît clairement que les solutions simplistes ne suffisent pas pour traiter des problématiques écologiques et urbaines complexes.

Conclusion

La présence de sangliers en milieu urbain n’est peut-être que la partie visible d’une question bien plus vaste sur notre capacité à coexister avec la faune sauvage dans un monde de plus en plus urbanisé. Il reste à espérer que cet incident incitera à un dialogue constructif entre chasseurs, municipalités et écologistes pour trouver des solutions durables qui respectent à la fois la faune et les exigences de la vie moderne.

Article rédigé par Actuchasse pour Caninstore

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Chasseurs et Piégeurs du 64: Suspension du Suivi Sanitaire

Chasseurs et Piégeurs du 64: Suspension du Suivi Sanitaire

Chasseurs et Piégeurs du 64: Une Pause dans le Suivi Sanitaire de la Faune

Dans le département des Pyrénées-Atlantiques, une décision sans précédent vient de marquer l’univers de la chasse : la suspension du suivi sanitaire de la faune sauvage par les chasseurs et piégeurs du 64. Cette mesure fait suite à un récent verdict du Conseil d’État, qui a annulé certains arrêtés autorisant la chasse traditionnelle, en particulier celle de l’alouette des champs par des méthodes spécifiques.

Une Décision de Poids

Les présidents de la Fédération de chasse du 64 et de l’Association départementale des piégeurs des Pays de l’Adour ont annoncé la cessation de collaboration avec les services d’État concernant les suivis sanitaires au sein de la faune sauvage. Ce choix intervient après l’annulation des arrêtés autorisant la chasse à l’alouette, une pratique vieille comme le monde pour nombreux d’entre eux. Le courrier envoyé au préfet des Pyrénées-Atlantiques enfonce le clou, révélant leur frustration face à un intérêt semblant amoindri des autorités sur ce dossier.

Les Chasses Traditionnelles en Ligne de Mire

L’annulation des formes de chasse à l’alouette avec cages et filets a soulevé une vague d’indignation parmi les chasseurs, qui voient une partie de leur patrimoine et identité remise en question. Pointant du doigt une dévalorisation des chasses traditionnelles depuis des années, ces derniers n’entendent pas rester les bras croisés. Les chasseurs envisagent désormais des concertations avec d’autres fédérations du Sud-Ouest et préparent une riposte juridique, arguant que ces modalités de chasse sont pourtant conciliables avec les directives européennes car prouvées sélectives lors d’expérimentations autorisées.

Implications et Inquiétudes

Le choix de suspendre le suivi sanitaire n’a pas été pris à la légère, soulignant le rôle crucial que jouent les chasseurs et piégeurs dans les dispositifs de vigilance contre les maladies transmises par la faune sauvage, comme la tuberculose bovine ou la grippe aviaire. Cette annonce a naturellement suscité des inquiétudes, notamment au sein de la profession agricole, attentive aux répercussions d’une telle décision sur la surveillance des maladies.

Face à ce qu’ils considèrent comme une « stratégie de sape progressive » des fondations de la chasse traditionnelle, les chasseurs se dressent en défenseurs d’une culture et d’un patrimoine qu’ils voient menacés.

Conclusion

La décision des chasseurs et piégeurs du 64 de suspendre leur collaboration avec l’État sur le suivi sanitaire de la faune sauvage marque un tournant dans le dialogue entre les défenseurs des traditions cynégétiques et les autorités. Un dossier à suivre de près, à mesure que les implications de cette décision commencent à se faire sentir sur le terrain.

Signé : Actuchassse pour Caninstore

Projet Pilote de Chasse aux Bernaches à Gatineau

Projet Pilote de Chasse aux Bernaches à Gatineau

Projet Pilote à Gatineau: La chasse aux bernaches est lancée

La ville de Gatineau a récemment approuvé un projet pilote visant à réduire la population d’oiseaux migrateurs, spécifiquement les bernaches, sur son territoire. La décision a été prise suite à l’adoption d’une proposition du conseiller municipal Jean Lessard, dans l’espoir de protéger les récoltes agricoles qui subissent des dommages croissants de la part de ces oiseaux.

Un besoin de protection pour les cultures

Il semble que les terres agricoles gatinoises soient devenues un restaurant en plein air très prisé par ces visiteurs à plumes. Face aux pertes financières significatives rapportées par les agriculteurs locaux, la ville a donc opté pour une solution radicale : la chasse réglementée sur ces terres. Toutefois, rassure Jean Lessard, cette mesure se limite strictement aux zones cultivées de Gatineau et vise à équilibrer les droits des agriculteurs avec ceux de la faune sauvage.

« Ce n’est pas la chasse ouverte à travers la ville, » précise Lessard, en insistant sur les strictes réglementations encadrant cette initiative. Les propriétaires de terres devront détenir un permis de chasse valide et avoir suivi une formation sur le maniement sécuritaire des armes. Ils ont également la possibilité d’engager des chasseurs professionnels certifiés par un programme de l’Union des producteurs agricoles.

Des inquiétudes à dissiper

Cette décision, bien qu’applaudie par certains, a également suscité des préoccupations, notamment en termes de sécurité publique. Le conseiller municipal a tenté de rassurer ses collègues et le public en soulignant l’encadrement strict de l’activité de chasse qui sera en vigueur.

Le projet pilote se déroulera jusqu’en décembre, une période après laquelle les dernières bernaches migratrices auront quitté la région pour des cieux plus chauds. Les résultats et retombées de cette expérience seront ensuite évalués afin de déterminer les prochaines étapes.

Conclusion

Alors que Gatineau se prépare à entamer ce projet pilote, l’attention est rivée sur l’équilibre fragile entre la préservation des intérêts agricoles et la gestion responsable de la faune. Seul l’avenir dira si cette initiative offre la solution tant recherchée par les agriculteurs locaux ou si d’autres mesures seront nécessaires pour cohabiter pacifiquement avec nos voisins à plumes.

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Sangliers Aventuriers et Canyoning

Sangliers Aventuriers et Canyoning

Sangliers Aventuriers: Le Nouveau Visage du Canyoning

Le monde de l’aventure en plein air vient de s’enrichir d’un nouvel épisode surprenant, illustrant que l’adaptation au milieu sauvage ne connaît pas de limites, et ce, même pour la faune. Figurez-vous des sangliers, ces robustes habitants des forêts, qui se sont découverts un penchant pour une activité résolument moderne et humaine : le canyoning.

Des Images Captivantes

Aux quatre coins du monde, les réseaux sociaux ont vu circuler des vidéos stupéfiantes où l’on peut voir des sangliers descendre avec une aisance déconcertante les rapides de rivières, dans des scènes qui pourraient évoquer des vacanciers en quête d’adrénaline. Bien que la localisation exacte de ces exploits reste un mystère enveloppé d’hypothèses, les traits distinctifs des créatures ainsi que le décor suggèrent une origine asiatique.

Entre Curiosité et Emballement Médiatique

Ces scènes inhabituelles n’ont pas manqué de provoquer une vague d’intérêt, autant pour leur aspect insolite que pour les questionnements qu’elles suscitent sur la capacité d’adaptation des sangliers à des environnements aussi inattendus. Ce phénomène, au croisement entre réalité bizarre et fascination naturelle, rappelle l’étendue de ce que la nature peut nous révéler, au moment où l’on s’y attend le moins.

Un Phénomène à Décrypter

À travers ces péripéties aquatiques, les sangliers ne cessent d’étonner et de repousser les limites de ce qui était jusqu’alors perçu comme leur comportement naturel. Cette nouvelle donne ouvre non seulement de nouvelles perspectives sur le comportement animal mais soulève également des interrogations pertinentes sur les impacts de l’environnement sur les espèces sauvages et leur incroyable capacité d’adaptation.

Pour mieux comprendre ce comportement et d’autres curiosités du monde sauvage, l’appel à une observation continue et respectueuse s’impose, rappelant que la nature a encore bien des secrets à nous dévoiler.

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Démenti de la Société de Vènerie sur l’engrillagement

Démenti de la Société de Vènerie sur l'engrillagement

Décryptage du démenti de la Société de Vènerie sur la controverse de l’engrillagement

Dans le monde parfois tumultueux de la chasse, où passion et controverse se côtoient souvent, le dernier épisode implique directement la Société de Vènerie. Suite à un émoi suscité par un article de la République du Centre, l’organisation s’est vue dans l’obligation de clarifier sa position avec un communiqué officiel. Le cœur de l’affaire ? Un malentendu flagrant autour de leur implication supposée dans une question prioritaire de constitutionnalité concernant la loi sur l’engrillagement.

Cette loi, sujet brûlant, a pour toile de fond les pratiques d’enclos dans le domaine de la chasse, une thématique sensible autant pour les adeptes que pour les opposants à la pratique. La Société de Vènerie, en publiant son démenti, cherche non seulement à nettoyer son blason mais aussi à rétablir la vérité au milieu d’un océan de suppositions.

Le point central de ce tumulte médiatique repose sur une confusion apparente, relayée par le journalisme, entre la position officielle de la Société de Vènerie et les actions d’un groupe extérieur ayant mis en cause la loi en question. En clarifiant les faits, l’organisation espère tourner la page et surtout focaliser à nouveau l’attention sur les vrais enjeux de la chasse et de la préservation des traditions tout en respectant les cadres légaux.

Il est essentiel de rappeler l’importance de la vérification des faits avant diffusion, un principe fondamental du journalisme souvent éclipsé par la vitesse de circulation de l’information à l’ère numérique. Une leçon, peut-être, pour toute personne impliquée de près ou de loin dans le partage d’informations.

Face à de telles controverses, la société de Vènerie se positionne ainsi non seulement comme gardienne d’une pratique, mais aussi comme actrice responsable dans l’écosystème médiatique complexe qui entoure le domaine de la chasse. L’affaire rappelle dans un sens plus large la nécessité pour toutes les instances liées à la chasse de communiquer clairement et avec transparence leurs positions et leurs actions.

La chasse, activité ancestrale et régulièrement sujette à débat, reste ainsi au cœur d’une évolution constante, tirée entre tradition et modernité. Les discussions autour de la loi sur l’engrillagement ne sont qu’un exemple parmi d’autres des défis que le secteur doit régulièrement affronter, dans un contexte où la communication reste plus que jamais le nerf de la guerre.

Que vous soyez chasseur, passionné de la nature ou simplement curieux, cette affaire nous rappelle l’importance d’un dialogue ouvert et honnête. Et si vous cherchez à approfondir vos connaissances en matière de chasse, ou simplement à vous équiper, notre partenaire à la une, Caninstore, est la destination idéale pour tous les amateurs de chasse et d’activités en plein air.

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La Convivialité de la Chasse à Bagnols-sur-Cèze

La Convivialité de la Chasse à Bagnols-sur-Cèze

La Convivialité de la Chasse S’illustre à Bagnols-sur-Cèze

Lors d’un samedi festif le 11 mai 2024, le parc Rimbaud de Bagnols-sur-Cèze s’est transformé en un lieu de rencontre pour les adeptes de la chasse. La société de chasse locale, la Saint-Hubert, y a organisé son vide-greniers annuel, un évènement phare pour la communauté qui célèbre et partage son art de vivre.

Les allées ombragées du parc se sont remplies de badauds et de chineurs, venus explorer la cinquantaine de stands dressés pour l’occasion. Dans une ambiance chaleureuse, les visiteurs ont pu savourer saucissons, merguez et autres délices locaux, agrémentés bien sûr d’un verre de côtes-du-rhône, preuve vivante que la chasse est plus qu’une simple activité, mais un véritable art de vivre.

Le premier adjoint de la mairie, Maxime Couston, présent sur les lieux, a souligné cette harmonie sociale et culturelle. Quant à Sauveur Obino, président de la société de chasse et pilier de cette manifestation, il a évoqué l’importance de tels évènements pour le financement de l’association, tout en partageant son parcours riche et diversifié.

Face à des préoccupations environnementales grandissantes, Sauveur et sa communauté soulèvent l’importance d’une chasse raisonnée, respectant l’équilibre écologique. Les changements dans l’habitat naturel, notamment la diminution de certaines espèces giboyeuses, appellent à une conscience accrue, que les chasseurs de la Saint-Hubert sont prêts à endosser en éduquant les nouvelles générations.

Le président exprime également son désir d’impliquer davantage les jeunes, à travers des promenades éducatives dans les bois et la création d’une école de tir. L’objectif est de transmettre la passion de la chasse, mais aussi le respect de la nature.

Outre le vide-greniers, d’autres évènements sont prévus pour rythmer l’année de la Saint-Hubert, comme le ball-trap annuel et les traditionnelles battues, soulignant le rôle central de la chasse dans la vie locale.

En défendant leur patrimoine culturel, les chasseurs de Bagnols-sur-Cèze montrent que leur passion peut coexister avec une approche respectueuse et éducative envers l’environnement. Un modèle de convivialité et de transmission pour l’avenir.

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La stratégie militaire de l’Italie contre les sangliers

La stratégie militaire de l'Italie contre les sangliers

La stratégie radicale de l’Italie contre l’invasion des sangliers

Dans une démarche qui esquisse à la fois curiosité et controverse, l’Italie a opté pour une méthode pour le moins inhabituelle afin de contrer la prolifération des sangliers: l’implication de l’armée. Ces animaux, dont la présence s’est intensifiée aussi bien dans les terrains urbains que ruraux, ont poussé les autorités à prendre des mesures exceptionnelles.

Quand les Casques Verts prennent le fusil

La décision, sans précédent, d’habiliter près de 180 militaires à participer activement à la régulation des populations de sangliers illustre l’ampleur du challenge. Ces militaires, pour la plupart sans expérience préalable de chasse, ont été rapidement formés aux spécificités de cette traque pas comme les autres. L’idée? Remédier à l’expansion rapide de ces animaux robustes et opportunistes qui causent des dégâts considérables à l’agriculture, et représentent une menace croissante pour la sécurité routière et la biodiversité.

Des mesures radicales pour un problème grandissant

L’approche italienne dénote un passage à l’action plus martial dans la gestion faunique, une tactique qui soulève des questions éthiques et pratiques mais qui témoigne de la complexité de la cohabitation homme-animal. En effet, les sangliers ne se contentent plus des espaces sauvages et s’aventurent de plus en plus dans les zones peuplées, fouillant les poubelles, fouissant les jardins et traversant à l’improviste les routes. Ces incidents, qui peuvent sembler comiques à première vue, révèlent un dilemme écologique et sécuritaire bien réel.

Quelles implications pour l’avenir?

Cette initiative italienne marque un tournant potentiel dans la manière dont l’Europe pourrait envisager la gestion des espèces invasives ou surabondantes à l’avenir. Alors, assistons-nous à un changement de paradigme dans la lutte contre les nuisibles, où la frontière entre mesures civiles et interventions militaires s’estompe? Seul le temps nous dira si cette stratégie sera efficace et si elle pourra être adoptée ou adaptée par d’autres pays confrontés à des problèmes similaires.

Certes, l’idée de soldats pourchassant des sangliers peut prêter à sourire, mais elle met en lumière les défis extraordinaires auxquels sont confrontées les sociétés modernes dans leur gestion des écosystèmes. Une chose est sûre, la cohabitation avec la faune sauvage, dans un monde de plus en plus urbanisé, requiert des solutions innovantes et, parfois, surprenantes.

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